Adolescent, infecté depuis peu par le virus de la photographie, je me rendais régulièrement à la librairie Goulard, sur le Cours Mirabeau, à Aix-en-Provence, pour consulter les riches et lourds ouvrages que l’on y offrait en la matière, en quête d’inspiration. De cette période d’initiation et de recherche, un seul nom de photographe demeure gravé dans ma mémoire, celui de Lucien Clergue. J’ai vite été fasciné par son travail. Je dirais maintenant que c’est l’un des rares à avoir réellement nourri ma passion et, parce qu’il est méridional peut-être, avec lequel je me sens sentimentalement et artistiquement un lien de « parenté ». |
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DB Archives
Juillet 2017
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